Pendant longtemps, j’ai cru que la vulnérabilité était un signe de faiblesse. Dans les années 2010, l’image du leader infaillible, solide comme le roc, était encore valorisée. Je me disais qu’en tant que gestionnaire, montrer mes doutes ou mes limites nuirait à ma crédibilité.
Avec l’expérience, j’ai réalisé que c’est tout le contraire. Être vulnérable, c’est avant tout être humain et accessible. C’est accepter de dire « je ne sais pas », de reconnaître mes erreurs, et d’oser demander l’avis des autres.
Quand j’ose partager mes défis, mes incertitudes et même mes échecs, je crée un espace sécurisant autour de moi. Les gens se sentent alors plus libres d’exprimer leurs idées, leurs craintes et leurs propositions. Cette transparence ouvre la porte à l’authenticité, à la créativité et à l’innovation.
J’ai constaté que la vulnérabilité, loin de diminuer la performance d’un gestionnaire, la renforce. Elle l’oblige à être vrai et elle encourage son équipe à l’être aussi. Ensemble, ils deviennent plus forts, car chacun ose contribuer pleinement, sans peur d’être jugé.
Être vulnérable comme leader, c’est abandonner le masque de perfection et choisir de connecter réellement avec son équipe. C’est un acte de courage qui cultive la confiance, la collaboration et la performance durable.
Et toi, oseras-tu faire de ta vulnérabilité ta plus grande force ?
Tu désires explorer ta posture de leader authentique? Écris-moi pour amorcer cette transformation.